19 mai 2010
Printemps tardif
Rien ne me plaît plus que les places fleuries de Paris à la belle saison, que les espaces imprévus fleurissant entre deux immeubles, au coin d'une rue, dans tous les endroits où on ne les attend pas. Pour témoigner de ces floraisons éphémères, auxquelles se mêlent parfois quelques curiosités architecturales, un aperçu de ce printemps si tardif qui a eu tant de peine à s'installer et à éclater cette année.
De drôles de cheminées au-dessus des fleurs, place Aubry Le Boucher
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